Le renouveau,l'épiphanie qui n'est pas l'épi de Fanny au réveil des lendemains d'oubli,il y a dans ce nouvel air comme une envie d'être néo, et de répondre à l'appel d'une servante fidèle,illuminer l'éphémère avant le feu de la St-Jean
Comme une résolution sans raie donne une solution,
Il reste moins de 365 jours pour re trouver ce qui se perdra dans la névrose.
Je est un autre
Je suis la trace laissée par ma pensée
D'une autre nature
Ludique et insolente
Je ne reconnais sa naissance qu'en cas d'absence prolongée
Je ne me reconnais point
par point
Qu'au coin d'une rue pavée de flaques d'eau
Qu'au coin de l'oeil de passants passagers
Porteurs de fantasmes lovés sous les manteaux et pardessus dépassant
de quelque porte cochère.
Je ne parle de pluie que depuis peu
Je ne parle pas de temps,pour autant que je sache conjuguer
Le présent.
Car je est celui que je cache-cache
Car je est celui que je cache-né,
Il appartient au vent de l'emporter au loin,
Dans les feuilles carmin,restent deux lettres mortes.
Je fuis le jeu des autres.
Je suis la trace laissée par ma pensée
D'une autre nature
Ludique et insolente
Je ne reconnais sa naissance qu'en cas d'absence prolongée
Je ne me reconnais point
par point
Qu'au coin d'une rue pavée de flaques d'eau
Qu'au coin de l'oeil de passants passagers
Porteurs de fantasmes lovés sous les manteaux et pardessus dépassant
de quelque porte cochère.
Je ne parle de pluie que depuis peu
Je ne parle pas de temps,pour autant que je sache conjuguer
Le présent.
Car je est celui que je cache-cache
Car je est celui que je cache-né,
Il appartient au vent de l'emporter au loin,
Dans les feuilles carmin,restent deux lettres mortes.
Je fuis le jeu des autres.
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